· 

vu dans la presse

TELEGRAMME 21/02/2019

 

Morlaix. Le campement de gilets jaunes du Launay détruit par le feu

 

La cabane construite par les gilets jaunes au niveau du rond-point du Launay, sous le Décathlon de Saint-Martin-des-Champs, a été détruite par un incendie dont l’origine est pour l’instant indéterminée, vers 4 h 20, dans la nuit de mercredi à jeudi. Il n’y avait aucun occupant au moment où le feu s’est déclenché. Pompiers et policiers se sont rendus sur place. Depuis le début du mouvement des gilets jaunes, le 17 novembre, cette cabane, baptisée « maison du peuple », a déjà été détruite puis reconstruite. Le 18 décembre, les occupants avaient ainsi préféré mettre le feu à leur campement et quitter les lieux d’eux-mêmes, plutôt que d’être délogés par la police.

 

 

 

Synutra. La vente de l’usine à Sodiaal en bonne voie

 

Une nouvelle étape a été franchie dans la vente de l’usine de lait de Synutra, implantée à Carhaix (29), à Sodiaal. De bonnes sources, il ne resterait « plus que quelques conditions suspensives à lever ». Le groupe chinois et la coopérative laitière Sodiaal sont en discussions depuis l’été dernier et un accord a été signé, en décembre dernier. Il porte sur une reprise d’une partie de l’usine carhaisienne qui emploie 300 personnes. Dans le détail, la réception du lait, l’écrémage, la pasteurisation et les tours de séchage seraient concernés ; Synutra conservant la partie conditionnement.

 

 

 

OUEST FRANCE 21/02/2019

 

 

 

Lait. Synutra et Sodiaal signent un accord de vente de l’usine de Carhaix

 

L’avenir de l’usine Synutra de poudre de lait installée à Carhaix (Finistère) se précise. Un accord de vente avec la coopérative laitière Sodiaal aurait été signé mercredi 20 février 2019 après plusieurs mois de négociations.

 

 

 

 

 Brest. Un chef d’entreprise condamné pour location insalubre

 

Propriétaire de 35 logements – que des studios – il a fait son business des personnes vulnérables dont il perçoit directement les allocations logement. Il écope de neuf mois de prison avec sursis et de peines d’amende.

 

Ce chef d’entreprise brestois louait un studio sous les toits qui n’avait rien d’un nid douillet… Un caréneur intérimaire y a pourtant vécu ses derniers mois entre 2012 et 2015, assommé par une addiction à l’alcool. Après quelque temps, il

 

ne payait plus l’électricité, s’était fait couper l’eau… Faute d’entretien, l’endroit avait été déclaré insalubre par la cellule logement de la ville de Brest.

 

Le jugement de cette affaire a été rendu ce jeudi après-midi par le tribunal correctionnel de Brest. D’un côté, les avocats des parties civiles représentant la fondation Abbé Pierre, la Ville de Brest et l’association Consommation logement cadre de vie (CLCV) et le plaignant aujourd’hui décédé. De l’autre, le bailleur de 41 ans, célibataire, à la tête de trois entreprises de vente et de réparation automobile, employant huit salariés.

 

« 35 biens loués à des indigents »

 

L’homme gère seul trente-cinq appartements qui lui rapportent chacun entre 220 et 260 € par mois, essentiellement des petites surfaces. Il lui était reproché d’avoir fait son business de la location aux personnes vulnérables en visant les potentiels bénéficiaires d’allocations logements (versées directement).

 

En excluant la kitchenette, le studio loué pour lequel il est convoqué à la barre du tribunal mesure 6,40 m² selon les parties civiles. Tout juste la place d’y mettre un lit et d’y ranger quelques affaires.

 

Prison avec sursis et peines d’amende

 

Il a été reconnu coupable des faits et condamné à neuf mois de prison avec sursis ainsi qu’une amende de 3 127 €.

 

Il est condamné à verser 1 200 € à la CLCV et 3 200 € à la commune de Brest au titre du préjudice moral ; il considère la démarche de BMO recevable mais rejette toute indemnisation. La fondation Abbé Pierre est déboutée.

 

 

Richard Ferrand répond à la Confédération paysanne du Finistère, après la visite du Premier ministre

 

Sans citer le nom du syndicat, le député, président de l’Assemblée nationale, réplique à l’UDSEA-Confédération paysanne du Finistère : « Le Premier ministre et moi-même avons été conviés… Lorsque nous sommes invités chez quelqu’un, nous ne faisons pas la liste des invités ! »

 

Mardi dernier, l’UDSEA - Confédération paysanne du Finistère s’’est étonnée de ne pas avoir été invitée lors du tour de table avec le Premier ministre à Dinéault. « Faut-il voir dans cette absence d’invitation de l’ensemble des syndicats représentatifs, le signal d’un retour à une cogestion de la politique agricole par le tandem FNSEA – État ? » demandait la Confédération paysanne.

 

Écrire commentaire

Commentaires: 0